Vidéaste, Emmanuel Hubert est Membre du groupe BNI Bordeaux Montesquieu, en Gironde depuis avril 2017. Il nous raconte comment le gala BNI Dordogne Gironde 2018 lui a offert une visibilité exceptionnelle et une incroyable augmentation de son business…
Quelle activité professionnelle représentez-vous au sein de votre Groupe ?
Je produis des vidéos pour les entreprises et l’événementiel professionnel. Ma société s’appelle Louch’Bem Films, je l’ai fondée au Vietnam avec 2 amis en 2011, avant de rentrer en France en 2016, pour poursuivre l’aventure seul.
Qu’est-ce qui vous distingue de vos concurrents ?
La vidéo est devenue un support incontournable dans la gamme des outils de communication, aussi bien pour le site internet d’une entreprise, ses réseaux sociaux ou sa communication interne, que pour les événements qu’elle organise ou auxquels elle participe, comme des séminaires, des salons, des congrès. Ce qui me distingue de plusieurs de mes concurrents, c’est que j’ai appris à travailler seul la majorité du temps, ce qui permet à mes clients de n’avoir qu’un interlocuteur et pour ce qui me concerne, d’être compétitif. Ce métier n’est en fait pas un métier, mais des métiers ! Il faut être polyvalent pour gérer les différentes phases d’un projet : écriture du scénario avec les clients, tournage, montage et post-production. Il faut être un couteau suisse ! Et comme c’est avant tout une passion pour moi de réaliser des vidéos, je prends plaisir à toujours apprendre. Une de mes particularités (que je mets souvent en avant) est que je suis pilote de drone, enregistré auprès de la Direction Générale de l’Aviation Civile, ce qui me permet de faire des images aériennes, en toute légalité, car c’est une activité réglementée lorsqu’elle est exercée dans un but professionnel.
Quelles ont été vos motivations pour rejoindre BNI ?
Je me suis installé à Bordeaux en 2016, après avoir vécu 6 ans au Vietnam, à Saïgon. J’ai souvent entendu parler de BNI dans des événements de networking ou par des amis, mais personne n’en était Membre. J’ai donc saisi l’opportunité d’une invitation pour aller me faire ma propre idée, et j’ai tout de suite adhéré au principe. La philosophie « Qui donne reçoit » correspond aux valeurs que je pratique depuis longtemps, et pas seulement dans le cadre professionnel (j’ai rencontré mon épouse alors que nous étions secouristes bénévoles à la Croix-Rouge). Mais j’ai aussi été séduit par l’organisation, la rigueur et l’efficacité des réunions. Les outils de suivi et les statistiques permettent de démontrer les actions menées ou à mettre en place, et je pense que bon nombre d’entreprises gagneraient même à s’inspirer d’une organisation aussi performante. En rentrant dans le Groupe BNI Bordeaux Montesquieu, j’ai ainsi pu rencontrer rapidement une diversité d’entreprises pour développer rapidement mon réseau, et par conséquent, mon chiffre d’affaires. J’ai aussi découvert des entrepreneurs bienveillants, positifs et toujours prêts à partager leur expérience, un peu comme des mentors
Avez-vous eu des fonctions au sein du Groupe ?
Oui, j’ai d’abord été membre du Comité d’Accueil, puis j’ai participé à la communication du Groupe sur les réseaux sociaux (Facebook, Linkedin). J’ai ensuite été Coordinateur d’Éducation, ce qui m’a « forcé » à explorer et mieux connaître la méthode et les outils BNI afin de pouvoir les expliquer à mes co-Membres. Je suis actuellement Secrétaire-Trésorier, et je vais être Président lors du prochain mandat d’avril 2019.
Le Gala BNI Dordogne Gironde a été pour vous un véritable tremplin. Racontez-nous…
Le partenariat avec BNI Dordogne Gironde pour le gala 2018 impliquait que je réalise des vidéos présentant des Membres de la région qui étaient à 100 points aux Indicateurs de Performance depuis plusieurs mois, dans le but de les mettre en lumière et de les remercier pour leur implication durable. Je suis donc allé rencontrer et filmer ces Membres lors de leurs réunions BNI respectives. Cela m’a permis de tisser des liens avec eux, mais aussi leurs propres co-Membres. Désormais, je travaille par exemple avec une agence de communication basée à Périgueux qui a des Membres dans les 2 Groupes BNI de cette ville (agence Adekoi), ou encore avec Jérôme Libes, que j’ai filmé pour le mettre en lumière lors du gala, qui dirige Influa, une agence spécialisée dans le web-marketing. Je travaille aussi régulièrement avec Cécile Ballet, qui dirige une agence d’événementiel (en charge du gala BNI) qui est aussi la DC de mon Groupe BNI ! C’est donc un réseau fort et solide que je me suis rapidement forgé avec des entreprises aux métiers complémentaires du mien. Dans les semaines qui ont suivi le gala, j’ai ainsi reçu de nombreuses demandes de devis et plusieurs d’entre eux ont été validés. Le gala m’a offert une visibilité exceptionnelle auprès des 500 Membres présents à cette occasion, et le résultat pour moi est d’avoir doublé mon chiffre d’affaires annuel.
De quelle manière BNI vous a-t-il permis de changer la manière dont vous faites des affaires ?
Pour moi, la méthode BNI, c’est la « quadrature du cercle ». Ce ne sont pas des outils qui servent juste à avoir des « bonnes notes », mais c’est le moyen de mettre en place un pilotage réellement efficace si on l’applique bien, afin de générer du business.
Que souhaitez-vous mettre en avant auprès des Membres BNI ?
Je suis intéressé pour rencontrer des agences de communication ou d’événementiel, qui sont pour moi de formidables prescripteurs. Mais j’aime aussi travailler avec les entreprises en direct, comme c’est souvent le cas. Le client idéal, pour moi, est une entreprise qui a déjà quelques années d’existence et qui souhaite enfin investir et développer son image via l’outil vidéo.