Delphine Terrasson est architecte en marketing stratégique. Membre du Groupe BNI Waterloo Impérial depuis juin 2018, elle a participé au challenge vidéo à l’occasion de la Convention Internationale, en aidant Aurore Delsoir.
Parlez-nous de votre activité…
Je suis fondatrice d’Ekvilibre, une société spécialisée et experte dans le marketing stratégique. Dans mon métier, il est primordial d’avoir un regard frais sur le positionnement de mes clients. J’accompagne chacun d’eux pour qu’il ose se différencier. Je construis des identités de marque, positionne une entreprise sur son marché, analyse la rentabilité d’un portfolio de produits ou services, retravaille les argumentaires de vente… Ma mission est de comprendre le business de mon client et d’en extraire l’essentiel. Ceci afin de l’aider à construire un message captivant pour ses prospects et clients. J’ai une approche commerciale du marketing, pour que les entreprises soient plus compétitives, augmentent leur rentabilité, gagnent des parts de marché… Au final, il s’agit de vendre mieux, puis plus. Ekvilibre c’est le pouvoir de construire une marque aimée par son audience. C’est une vision à long terme – un voyage fort en cohérence et engagement. C’est la décision de choisir l’axe de communication percutant au service de vos ambitions.
Pourquoi avez-vous souhaité rejoindre BNI ?
Dans un premier temps, pour faire du réseautage, car dans mon métier, le marketing de recommandation est ce qui fonctionne le mieux. Et puis j’ai été séduite par le concept du Qui donne reçoit, la cohésion du Groupe de Waterloo Impérial, l’approche positive et structurée des réunions qui nous amènent à faire plus de business.
Avez-vous eu des fonctions au sein de votre Groupe BNI ?
Oui, j’ai été membre du Comité d’Accueil, puis Secrétaire-Trésorière, Community Manager et je suis actuellement Vice-Présidente.
De quelle manière BNI vous a-t-il permis de changer la manière dont vous faites des affaires ?
Au contact de mes co-Membres et au fil des Tête-à-tête et de mes infomerciales, j’ai adapté mon offre aux PME pour qu’elle corresponde au mieux à leurs besoins. J’ai aussi revu mon vocabulaire trop « marketing geek » et somme toute, peu compréhensible !
