« Merci, BNI, de nous avoir fourni Zoom ! »

2027

Fabrice HOEBERECHTS est banquier et Membre depuis trois et demi du Groupe BNI Ans Excellence. Président du Groupe durant la période de confinement et peu enclin au virtuel, il nous livre un témoignage plein de sensibilité et d’humour…

 

BNI m’a fait grandir tout en m’apprenant sur moi-même. En effet, le business est une chose, mais l’humain est le plus important. Durant 3 ans et demi, ce sont les gens que j’ai rencontrés qui m’ont apporté business, mais surtout écoute et aide.

Comme tout Membre BNI, on s’inscrit pour développer son business et BNI fournit une possibilité, une méthode qui permet, une fois inscrit, de développer l’humain que l’on est et cela vaut tous les business du monde.

La méthode est uniforme, l’être humain est varié, les process sont des lignes de conduite, droites, mais le chemin quotidien est tortueux. Je suis « capitaine d’entreprise », comme on le dit couramment, mais avant tout gestionnaire de Personnes.

En tant que Président BNI, je suis capitaine de mon Groupe BNI Ans Excellence, mais en réalité, gestionnaire d’individus, indépendants qui plus est. Je suis un vivant, j’aime le contact, le présentiel et ma première réunion en tant que Président a été virtuelle, le Covid 19 s’étant invité sans s’inscrire dans BNI Connect.

BNI a offert tout de suite la possibilité de se voir en vidéo, tout ce que je déteste !

Comment faire face à cette nouveauté, à ce confinement ? Le capitaine n’a jamais navigué dans ces eaux troubles.

L’amiral BNI fournit les outils, le cap, la méthode : réunissez-vous sur Zoom,

« c’est une opportunité », nous dit-on. Alors, ne restez pas chez vous à vous morfondre…

C’est contre nos valeurs, nos personnalités, mais qui dit personnalités, dit Membres et je ne peux pas les laisser tomber.

Le capitaine a choisi un cap : s’adapter, motiver ses Membres et embarquer son Groupe comme passagers, moussaillons dans un nouveau voyage vers l’inconnu.

Et pourquoi ce voyage ne serait pas une aventure agréable ? D’un confinement, repli sur soi par excellence, nos réunions sont devenues l’ouverture aux autres et au monde. Zoom n’a pas été que retrouver et voir mes co-Membres : j’ai vite compris que je pouvais échanger avec des Groupes voisins, puis de de France, d’Espagne, de Pologne, du Vietnam, …

Au final, des retours extraordinaires et des Visiteurs qui se sont bien amusés à notre réunion. Six mois de confinement, six mois de réunions virtuelles plus tard, merci BNI d’avoir fourni cet outil !

Ce n’était pas casser l’un de nos principes de base – échanger en présentiel – c’était juste s’adapter face à l’inconnu et au risque sanitaire.

L’imposer n’est pas une contrainte, mais un chemin.

Chacun chez soi, nous avons voyagé, au-delà de notre commune, rencontré plus de monde qu’avant, certes en virtuel, mais on a grandi… j’ai grandi.

J’ai compris que cette opportunité virtuelle pouvait servir le Groupe, mon Groupe et ses individualités, mais aussi mon business. J’ai compris que cette saleté de virus nous ferait perdre inévitablement de l’argent, mais surtout que l’humain serait plus fort.

Ce témoignage m’a été inspiré par un mail d’un Membre BNI de Hanoï, au Vietnam, qui disait en résumé qu’il a visité de nombreux Groupes, mais que c’est chez nous qu’il s’est le plus amusé.

Si un jour on m’avait dit que je ne verrais plus mes co-Membres, je vous aurais dit que ce n’était pas possible. Maintenant, je vous dis que, qui que vous soyez, d’où que vous soyez, vous serez le bienvenu. »

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