#TÉMOIGNAGE – MAYA APRAHAMIAN: « SANS BNI, JE SERAIS RESTÉE DANS MA BULLE… »

1948
logo_ComMore_horizontal

Maya Aprahamian passe de la France à l’Allemagne comme elle traverse la rue ! Résidente strasbourgeoise, elle vient d’intégrer un Groupe BNI à Kehl, première ville allemande juste après le pont de Strasbourg…

 

Depuis quand avez-vous intégré BNI ? 

Je suis entrée dans le Groupe BNI Salmen d’Offenburg, en Allemagne, en septembre 2017. J’ai récemment changé pour intégrer le Groupe BNI EuropaBrücke en création à Kehl, toujours en Allemagne, car sa localisation me rapprochait de chez moi.  Les 14 kilomètres de distance me permettent même de m’y rendre à vélo, nos pistes cyclables sont formidables à Strasbourg !

Parlez-nous de votre activité…

Je suis une business developer franco-allemande, doublée d’une communicante. Pour moi, ces activités vont ensemble. Ma société s’appelle Com&More. J’accompagne des entreprises dans le développement d’un projet transfrontalier ou international, notamment entre la France et l’Allemagne.

Pourquoi avez-vous rejoint BNI ?

Je suivais BNI sur les réseaux sociaux depuis le démarrage de mon activité, en 2016. Mais c’est un contact professionnel – Hanno Fecke, un allemand francophone – qui m’a proposé de venir voir son Groupe BNI , celui d’Offenburg, en Allemagne, à 30 km de chez moi.

J’ai tout de suite adhéré au mode de fonctionnement structuré, au créneau horaire matinal et aux valeurs d’entraide. En Allemagne, les premiers Membres arrivent à 6h30 du matin. Comme je suis franco-allemande, je me suis tout naturellement tournée vers un Groupe BNI en Allemagne, alors que j’habite en France.

De manière générale, le networking est essentiel quand on développe une affaire. Malheureusement, dans d’autres réseaux, beaucoup de rencontres diverses et variées prennent énormément de temps, ne sont pas structurées et restent stériles.

Avez-vous eu des fonctions au sein du Groupe ?

Je m’occupe des relations avec les médias du Groupe BNI Europabrücke. Par ailleurs, avec Vincent Ehling de BNI Alsace, nous avons réactivé des rencontres transfrontalières entres Membres BNI des deux régions, qui se déroulent soit du côté allemand, soit du côté français.

 

Vous avez récemment pu tester la force du réseau BNI, racontez-nous…

Pour des raisons familiales, nous venons souvent à Marseille. Cette ville merveilleuse me séduit chaque fois un peu plus. Nous venons d’ailleurs d’y d’acquérir un pied-à-terre. Dans un esprit BNI et de « voisine », j’ai souhaité aller à la rencontre des  « collègues » BNI de Marseille, il y a quelques semaines. Quel bonheur de longer la Corniche et de remonter le Prado pour me rendre à cette rencontre de travail matinale, oubliant tous les matins d’hiver alsaciens où je dois gratter mon pare-brise !

Au Groupe BNI Synap’s de Marseille, j’ai sympathisé avec plusieurs Membres, dont Philippe Cavanne. Quelques semaines passent. Je reçois un jour  – complètement bluffée – deux recommandations ! L’une d’elles m’a permis d’obtenir une mission importante pour un client à Paris portant sur un marché en Allemagne. L’autre recommandation concerne le développement à l’export d’une entreprise marseillaise, le rendez-vous est pris… J’avoue que je suis enthousiasmée par ces interconnections et très reconnaissante de la confiance accordée.

 

De quelle manière BNI vous a-t-il permis de changer la manière dont vous faites des affaires ? 

Il y aurait beaucoup choses à dire… Probablement me concernant à mieux me positionner et à laisser tomber toutes les inhibitions dans la prise de contact.  Et à toujours être dans un esprit de « Qui donne reçoit ! ». Dans nos Groupes BNI, nous apprenons tout d’abord à décrire en 60 secondes ce que nous faisons, et qui nous cherchons. Par ailleurs, par le biais de Tête-à-tête au sein de notre propre Groupe ou avec les Membres des autres Groupes BNI, nous apprenons à poser des questions ciblées et à développer notre sens de l’écoute. Et puis, une chose que j’ai apprise : THINK BIG !

Anke Precht, psychologue et coach mental pour les sportifs du Groupe BNI Salmen à Offenburg, cherchait à rencontrer le ministre des Finances allemand : à force de le répéter, un jour un Membre venu en visiteur lui a permis de réaliser ce rêve ! Au fait, Anke est francophone : je suis sûre qu’elle aiderait l’OM à entrer en Champions League ! Si vous connaissez quelqu’un qui y travaille…

BNI m’a permis de rencontrer des personnes formidables de tous les corps de métier et je crois que je serais restée dans ma bulle sans cela. Par ailleurs, je comprends BNI comme un réseau : il ne faut pas hésiter de se rendre dans les autres Groupes BNI pour y rencontrer d’autres Membres.

 

Que souhaitez-vous mettre en avant auprès des Membres BNI ? 

Je recherche des entreprises françaises qui souhaitent se développer en Allemagne ou qui y rencontrent des difficultés. Chaque projet est passionnant et c’est chaque fois un nouveau défi que je souhaite relever, avec ma société Com&More… ou avec mon Réseau BNI !