Antoine Bernard est dirigeant associé au sein du groupe Mare Nostrum. Le groupe, créé en 2002, spécialisé en ressources humaines et notamment en travail temporaire, (par le biais de ses marques Tridentt travail temporaire, illiCo intérim et Al&Co ) emploie aujourd’hui plus de 200 hommes et femmes ayant pour ambition de placer l’Humain au centre des entreprises. Il génère aujourd’hui un chiffre d’affaires de plus de 83 M d’euros.
Antoine Bernard vient d’accepter la présidence du Groupe isérois RezoBAO. Il nous présente les objectifs qu’il s’est fixés pour les 6 mois à venir.
Quand et pourquoi avez-vous rejoint BNI ?
J’ai rejoint le Groupe du rezoBAO (Réseau Bouche A Oreille) en novembre 2013. A cette époque, le groupe Mare Nostrum, dont je suis dirigeant fondateur, évoluait dans un marché ultra concurrentiel, avec un contexte économique tendu.
Notre esprit de bâtisseurs nous ayant toujours amenés à aller de l’avant, nous avons souhaité consolider des réseaux locaux forts, et entrepris de nous rapprocher de BNI, pensant avoir des valeurs communes avec ce réseau, du point de vue du partage et de la place de l’Humain dans l’entreprise.
Il s’agit d’ailleurs toujours aujourd’hui de développer des relations commerciales nouvelles, pérennes et dans la confiance.
Pari réussi puisqu’à ce jour, le groupe Mare Nostrum a généré plus de 350 000€ de buisness au sein du rezoBAO en deux ans (en MPB donnés et reçus), et la négociation de contrats importants est également en cours.
Avez-vous eu des fonctions au sein du Groupe ?
Il était important pour moi de commencer par apprendre et découvrir le Groupe. J’ai donc fait partie du Comité d’Accueil dans un premier temps, avant de rejoindre le Comité des Membres : analyser les candidatures a été riche d’enseignements sur le plan relationnel. Habituellement cantonné aux tâches administratives et financières, je découvre ce que signifie développer vraiment des relations commerciales nouvelles.
Aujourd’hui, j’ai accepté la présidence du RezoBAO depuis le 1er octobre 2015.
Quels objectifs vous fixez-vous au sein de cette fonction ?
J’ai vraiment à cœur de m’investir dans ce poste, afin de consolider les liens existants entre les Membres actifs et de dynamiser le Groupe notamment par le recrutement de nouveaux Membres, avec pour ambition de casser la routine d’un Groupe qui fonctionne : inviter beaucoup, et surtout utiliser les stimulants BNI afin d’insuffler une dynamique différente dans les réunions.
Dernier grand chantier : la mise en place d’un intranet au sein du Groupe, toujours pour favoriser les échanges.
Avez-vous un souvenir fort dans ce sens depuis votre entrée au BNI ?
De nombreux ! Mais plus particulièrement lors du lancement des premiers Jeux Olympiques BNI en 2014, pendant l’incentive entre les différents Groupes nationaux : Responsable de l’animation du Groupe, j’avais délocalisé la réunion au sein du club du FCG rugby (Equipe grenobloise de rugby du top 14 dont le groupe Mare Nostrum est partenaire). David Dussert, ancien joueur professionnel, était intervenu en tant que coach sportif, et nous avions pu endosser les maillots de l’équipe.