Nicolas NOUAILHAGUET est Membre du Groupe BNI Limoges Cap’Affaires depuis janvier 2019 et Directeur Consultant du Groupe BNI Good Morning Limoges Business depuis avril 2022. Il nous livre sa double expérience…
Pourquoi avoir rejoint BNI ? Racontez-nous votre histoire BNI !
C’est un ami, déjà bien intégré dans son Groupe BNI, qui m’a offert cette opportunité de développer mon réseau. J’ai donc visité le Groupe auquel il appartenait ainsi qu’un autre Groupe de Limoges, pour élargir ma vision en prenant en compte les différentes atmosphères. Dès la deuxième visite, même en tant qu’Invité, j’ai reçu une recommandation et partagé un contact. J’ai intégré Limoges Cap’Affaires la semaine d’après. Très vite je me suis intégré à mon tour et me suis investi sur les postes du CODIR et COPIL.
Quels sont les Groupes que vous accompagnez ?
Depuis le mois d’avril dernier, j’ai en charge l’accompagnement du Groupe Good Morning Limoges Business. Un Groupe de presque 40 Membres qui a fêté ses 10 ans cette année !
Selon vous, la présence active de tous les Membres est-elle nécessaire pour un Groupe ?
La récurrence des réunions et de fait la présence hebdomadaire est même essentielle ! On apprend à connaitre nos co-Membres, et à se faire connaitre d’eux. On gagne alors en confiance de par notre assiduité et on prouve déjà notre sérieux et notre professionnalisme. La méthode BNI aide bien évidement à mettre en place et à respecter cette assiduité. Lorsqu’on se voit toutes les semaines, il suffit parfois d’un déclic lors des infomerciales, un regard durant une réunion pour profiter ensuite des échanges informels et approfondir les conversations. Cette récurrence permet de créer un certain automatisme auprès des Membres qui, lorsqu’ils seront confrontés dans leur quotidien pro ou perso à un mot, une phrase, une situation, penseront à vous du tac au tac.
Dans le Groupe que vous accompagnez, comment avez-vous abordé le sujet ? Comment les avez-vous convaincus de cette nécessité de présence ?
Venant du monde du sport, une réunion est comme un entrainement. On s’entraine toutes les semaines à synthétiser, se présenter, se vendre, prendre la parole en public. L’assiduité est nécessaire pour atteindre notre objectif, qui est de faire du business. Lorsque l’on veut s’entretenir physiquement, on se motive et on va courir, ou on va dans une salle de sport. Lorsque l’on arrête, même peu, on doit tout recommencer.
Avez-vous mis en place des techniques ou des outils pour renforcer la présence des Membres ?
Donner du sens est la meilleure technique. Sinon, les interventions des Coordinateurs d’Éducation peuvent venir en renfort.
Quels sont, selon vous, les points auxquels il faut faire attention ?
Chacun prend ses responsabilités. Lorsqu’un Membre « décroche », il est important de prendre contact avec lui. D’abord par le biais du Comité des Membres, qui joue un rôle essentiel. Puis, éventuellement, par l’intermédiaire du Directeur Consultant, pour plus de neutralité. Souvent, il est nécessaire de déceler le pourquoi de ce décrochage. Prendre le temps d’en parler et rappeler le but de leur participation devient incontournable.
Que recommandez-vous aux DC et DZ qui vous lisent à ce sujet ?
Je n’ai ni la prétention ni le recul pour un remède miracle. Je dirais simplement de partager et d’échanger régulièrement avec les Membres. Car comme pour une réunion, c’est notre présence en tant que Directeur de Groupe qui fait la différence.