Jean-Marc Auguet est Membre du Groupe BNI Clovis, à Soissons dans l’Aisne, depuis 2014… il nous raconte son idée de coup de com’ insolite pour faire parler de son Groupe.

Jean-Marc Auguet est entré voici 5 ans au BNI avec une activité peu commune : celle de recyclage de textiles. « Je suis chargé de développement pour la société Le Relais Nord Est Ile de France. Notre spécialité est le recyclage des textiles et notre statut de société d’insertion nous distingue de nos concurrents. Nous sommes aussi et de loin le premier collecteur de textiles en France. J’ai souhaité intégrer un Groupe BNI pour développer mes implantations de conteneurs dans les villes, augmenter mes ventes d’isolants biosourcés (thermiques et phoniques), augmenter mes ventes de chiffons et pouvoir replacer un maximum de nos salariés. »

Si le Groupe BNI Clovis était mal en point il y a quelque temps, celui-ci a bien redressé la barre : « J’en suis à mon deuxième mandat successif de Président. Mon but était de redynamiser un Groupe en chute libre, ce que j’ai réussi à faire. »

Un esprit d’entraide similaire…

Et pour que son Groupe connaisse l’un de ces grands moments qui donnent de l’énergie et scellent la cohésion, Jean-Marc a eu une idée pour le moins insolite : « Mon projet de réunion en vidéoconférence est une idée qui m’a été soufflée par Alexandre Cwerman, notre Directeur Consultant, lorsque je lui ai proposé de faire venir le nouvel ambassadeur de Taïwan, Chine, (j’avais déjà fait venir l’un de ses prédécesseurs il y a quelques  années). Le but est de faire un coup de com’ et aussi de faire connaître nos amis de Taïwan, Chine. L’ambassadeur viendra participer à notre réunion, ce qui donnera un peu de lustre à notre rendez-vous hebdomadaire ! Les élus locaux seront invités et tout ceci nous amènera peut-être des nouveaux adhérents. Cela permettra aussi à nos viticulteurs de se faire connaître et – qui sait ? – d’exporter leurs produits. Les gens de l’ambassade ont été ravis de voir un tel projet et sont tout prêts à nous aider. Il faut dire que c’était facile pour moi puisqu’ils me connaissent bien… En fait, je suis d’ailleurs entré au BNI en pensant y trouver l’entraide qui existe entre les Taiwanais ! »